Êtes-vous sûr de savoir comment écrire un article web qui va vraiment plaire à votre audience ?
Si ce n’est pas le cas, c’est le bon moment pour découvrir :
- La façon de créer un titre et une metadescription qui inciteront les internautes à cliquer
- La longueur des articles qui obtiennent le plus de partages sur les réseaux sociaux
- Les bases essentielles d’un billet de blog de qualité
- L’optimisation qui ne nuit pas à la lisibilité par les humains
- Les conseils pour peaufiner votre style rédactionnel
- Quand laisser tomber les règles de grammaire et de ponctuation
- L’importance de la relecture et de la correction de votre texte
- L’effet de l’insertion d’un appel à l’action, même dans un texte informationnel
Bref, si vous voulez savoir comment écrire un article de blog qui aura les faveurs de votre audience, plongez directement dans ce qui suit.
Créez de longs articles
L’efficacité des contenus longs, tant en termes de partages que de positionnement sur les moteurs de recherche, a déjà été amplement démontrée, notamment par Neil Patel dans son article Why 3,000+ Word Blog Posts Get More Traffic (A Data-Driven Answer).
La raison est finalement très simple : ces contenus apportent plus de valeur aux internautes (s’ils sont bien rédigés). Lorsque l’internaute trouve une source d’information utile, il la partage. Corrélativement, Google tend à promouvoir ces longs articles, car son objectif est également de fournir une information pertinente aux utilisateurs. Autrement dit, un long contenu met tout le monde d’accord, les humains comme les algorithmes.
Une récente étude de Semrush confirme l’accentuation de cette tendance : sur 1 200 000 articles analysés, ceux qui généraient le plus de trafic contenaient plus de 7 000 mots.
En plus, un long format a plus de chances de bien se positionner sur une multitude de requêtes.
Identifiez une requête clé pertinente pour l’optimisation de votre site
Pour qu’un article soit vu et plaise, il faut d’abord qu’il se positionne bien sur les moteurs de recherche.
Vous devez donc d’abord réfléchir à la requête clé que vous allez utiliser, la placer dans votre texte et travailler le champ lexical de la thématique abordée (ce qui devrait se faire assez naturellement si vous traitez d’un sujet en profondeur).
Pour trouver la requête clé, plusieurs méthodes s’offrent à vous :
- Vous pouvez utiliser l’outil de planification des mots clés mis à disposition par Google pour les campagnes publicitaires. Cela vous permettra d’isoler les requêtes les plus populaires pour une thématique donnée.
- Vous pouvez également utiliser divers outils gratuits ou payants (Ubersuggest, Keywordtool.io, SEOquantum, Keywords Everywhere, etc.). Leurs données sont parfois moins précises que celles du Keyword planner de Google, mais certains ont l’avantage de vous donner un score de difficulté pour le référencement naturel (à l’inverse de l’outil Google qui ne concerne que le référencement payant).
- Les outils sont utiles, mais vous connaissez votre secteur et votre audience mieux que personne. Vous pouvez donc facilement déterminer des requêtes intéressantes à travailler, puis vérifier grâce aux outils si elles sont pertinentes ou non. N’hésitez pas également à faire de l’espionnage industriel en vérifiant les requêtes travaillées par vos concurrents.
Lorsque vous identifiez la requête clé, prenez également en compte l’objectif de votre texte. Cela a une double vertu : vous servez les intérêts de votre entreprise en attribuant une véritable utilité à votre texte et vous vous assurez de mettre le bon contenu sous les yeux du bon prospect. Pour cela, vous devez vous demander à quel stade du parcours d’achat devrait se trouver le lecteur en découvrant votre article :
- La phase d’information : l’internaute prend conscience de son problème et cherche des pistes de solution. Privilégiez des termes tels que “comment”, “pourquoi”, “la meilleure façon du…”, “solution pour…”, etc.
- La phase de réflexion : l’internaute connaît les solutions qui existent et cherche celle qui comblera au mieux son besoin. Utilisez des termes comme “comparatif”, “avis”, “témoignages”, “différence entre…”, etc.
- La phase de conversion : l’internaute a fait son choix et décide d’acheter un produit. En principe, il sait déjà où le trouver, mais pour lever les derniers doutes, vous pouvez optimiser des textes avec des requêtes qui contiennent “acheter…”, “promotion…”, “offre…”, etc.
Évitez de bourrer votre article de mots clés
Vous devez écrire pour les humains et optimiser pour les moteurs de recherche. Et si vous devez choisir l’un ou l’autre, optez pour l’humain.
Bonne nouvelle : comme les lecteurs, les algorithmes privilégient un contenu utile et riche. Les contenus jugés trop légers, même bourrés de mots clés, sont pénalisés et ne ressortent plus aussi bien qu’avant dans les résultats de recherche.
Votre premier objectif est donc un bon contenu. Votre second objectif est d’y insérer votre requête clé avec parcimonie, suffisamment pour donner un signal aux algorithmes, mais pas au point de gêner la lecture.
Insérez la requête clé dans les zones chaudes de votre texte, notamment le title, le h1, l’introduction et certains sous-titres. Vous pouvez aussi la mettre dans le corps du texte, mais si vous avez l’impression que cela déforme une phrase, abstenez-vous.
Faites des recherches complètes dans des sources fiables
Il y a deux types de créateurs de contenu :
- Les rédacteurs experts
- Les rédacteurs polyvalents
Pourtant, ils doivent tous commencer leur travail de création par une recherche exhaustive de sources. Cela va de soi pour les rédacteurs polyvalents qui ne disposent pas de la maîtrise nécessaire pour concevoir un article sur un sujet précis. Et les experts ?
Les experts doivent aussi faire des recherches de sources fiables. Bien entendu, ils peuvent rédiger l’article en puisant dans leurs connaissances. Mais ils doivent aussi apporter à leurs lecteurs de quoi satisfaire leur curiosité.
Donnez à vos lecteurs l’occasion de découvrir d’autres sources, que ce soit par des liens internes sur votre site ou par des liens externes. Ce faisant, vous travaillez également dans le sens des moteurs de recherche qui, en découvrant des liens vers des sources fiables, accorderont plus de crédit à votre article. C’est un critère parmi des centaines, mais cela ne peut qu’être positif pour votre référencement naturel.
Concoctez des titres percutants pour vos articles web
Si votre titre ne donne pas envie de lire, votre excellent contenu ne sera jamais lu. La qualité du titre est d’autant plus critique lorsqu’on parle du title, c’est-à-dire le titre qui apparaît sur la page des résultats de recherche.
S’il n’attire pas l’œil du lecteur, vous n’aurez aucun trafic. Et donc aucune chance de conversion.
Ainsi, avant de savoir comment écrire un article, il faut savoir comment écrire un titre. Et pour cela, vous pouvez appliquer ces 6 conseils :
- Le titre doit être précis : l’internaute effectue une recherche spécifique et il aura tendance à cliquer sur le titre qui lui promet une réponse précise à sa question.
- Le titre doit annoncer un bénéfice pour le lecteur : l’internaute ne consacrera du temps à sa lecture que s’il en obtient un bénéfice.
- Le titre doit susciter la curiosité : s’il doit être précis, il ne peut pas tout révéler. Donnez assez d’informations pour que l’internaute sache de quoi il est question, mais pas assez que pour satisfaire sa curiosité.
- Le titre doit contenir des chiffres, des signes ou des camel cases : l’objectif est purement visuel, car ces signes attireront l’œil du lecteur. De plus, les chiffres ont un effet psychologique, car en donnant une information supplémentaire, le lecteur sait mieux à quoi s’attendre s’il clique.
- Le titre doit contenir la requête clé de votre article : ici, il n’est pas question d’inciter au clic, mais bien de favoriser le positionnement de votre texte dans les résultats des moteurs de recherche.
- Le titre ne doit pas être déceptif : vous avez lu que des mots tels que “secrets”, “gratuit”, “révélations” ou “exclusif” attiraient un grand nombre de clics ? C’est tout à fait vrai. Mais le revers de la médaille, c’est que vous créez une forte attente chez votre lecteur. Et que si le résultat n’est pas au rendez-vous, que votre texte ne délivre pas la promesse du titre, vous décevez et frustrez le lecteur. Et un lecteur frustré, vous ne pouvez pas le convertir en client. À moins que vous n’ayez comme ambition de concurrencer BuzzFeed ou Voici !, vous devez penser à la réputation de votre entreprise lorsque vous réfléchissez au meilleur titre pour votre texte.
Insérez une metadescription digne de ce nom
La metadescription est l’extrait qui s’affiche en dessous du titre (title) sur la page de résultat des moteurs de recherche.
Elle ne vous donne pas d’avantage en termes de référencement naturel. Mais bien libellée, elle peut inciter l’internaute à cliquer. Il est donc important de la rédiger avec soin.
La metadescription doit être le prolongement de votre titre et apporter à l’internaute des informations complémentaires de nature à l’inciter à lire. Vous en revenez donc, comme pour le titre, à cette notion de bénéfice. Vous devez vous demander :
- Que cherche l’internaute en tapant sa recherche sur Google ?
- Que lui fournissez-vous comme information critique dans votre article ?
La metadescription doit contenir la réponse à ces questions. Vu l’espace restreint (environ 150 à 160 caractères), la façon la plus efficace pour impliquer le lecteur est de lui poser une question qui fait intervenir le bénéfice qu’il recherche ou le problème auquel il fait face.
Notez que vous n’êtes pas entièrement maître de la metadescription qui apparaîtra sur la page de résultats. Google s’efforce de la faire corréler avec la requête de l’internaute. Ainsi, si votre metadescription contient “éduquer un chien”, mais que l’internaute a cherché “éducation canine”, Google cherchera dans votre texte un extrait qui contient les termes “éducation canine” et s’en servira dans la metadescription.
Délivrez une information utile, pratique et nouvelle
Les internautes cherchent avant tout des informations qu’ils peuvent directement utiliser, ce qui explique le succès des articles “comment…” ou des listes.
Cela ne signifie pas que vous devez circonscrire vos thèmes de publication aux seules informations pratiques. Vous pouvez aborder n’importe quel sujet, même une actualité interne à votre entreprise, à condition que votre contenu apporte une connaissance utile à votre audience.
Cela ne signifie pas non plus que vous devez adopter le mimétisme trop répandu sur le Net et écrire le millionième article pratique consacré à une thématique éculée de votre secteur. Dès que c’est possible, apportez une information réellement nouvelle, notamment avec des études de cas. Si vous êtes dans un secteur bouché, peu propice aux évolutions rapides et à la création de nouvelles données, vous devez alors jouer sur l’angle. Apportez un nouvel éclairage sur le sujet en adoptant un angle unique.
Dans tous les cas, vous devez impérativement éviter cette solution de facilité : la reformulation d’un contenu déjà publié sur un autre site. Rapide et bon marché, c’est la solution de création de contenu “à pas cher” pour remplir un site internet. La seule fonction de ce contenu étant de décorer votre site, c’est un bien mauvais investissement à long terme.
Rendez votre texte lisible sur le Web
Que ce soit sur son ordinateur ou sur son smartphone, votre audience consomme votre contenu sur un écran.
Et cela n’a rien de confortable.
C’est pourquoi vous devez rendre votre contenu aussi lisible que possible, et cela grâce à 6 astuces facilement mises en œuvre :
- Rédigez des phrases simples : en moyenne, vos phrases ne devraient pas faire plus de 20 ou 25 mots. Si un lecteur doit revenir en arrière pour comprendre l’énoncé, il abandonnera vite sa lecture. Soyez particulièrement attentif aux premières phrases de votre texte : vous ne devez pas faire fuir un visiteur avec une phrase à rallonge dès la première ligne. Laissez-lui le temps de s’habituer à l’effort intellectuel qu’il devra fournir pour vous lire et introduisez votre texte par des phrases courtes (15 à 20 mots maximum, voire moins).
- Évitez les structures syntaxiques qui freinent le rythme de lecture : c’est particulièrement vrai pour les inversions stylistiques qui compliquent la compréhension du texte, même si elles lui donnent un aspect plus recherché. Ainsi, il est préférable d’écrire “la nuit est douce” plutôt que “douce est la nuit”, sauf si votre audience réagit positivement à votre verve poétique.
- Adoptez la voix active : la voix active rend votre discours plus direct, plus efficace et plus simple à comprendre.
- Cassez les longs paragraphes : les paragraphes ne devraient pas faire plus de 5 lignes, car les longs paragraphes ont un effet décourageant sur l’internaute. Il hésitera à entamer la lecture d’un long bloc de texte, alors qu’il passera facilement d’un court paragraphe à un autre. Bien maniés, des paragraphes courts vous permettent aussi d’inciter le lecteur à poursuivre sa lecture. Vous avez probablement déjà entendu qu’il fallait une idée par paragraphe. C’est vrai, mais vous manquez alors l’occasion de créer une attente chez le lecteur qui veut connaître la suite de votre idée. À la place de dévoiler l’entièreté d’une idée dans un paragraphe, n’en dévoilez qu’une partie et poursuivez votre réflexion dans le paragraphe suivant.
- Ne justifiez pas votre texte : la justification, très utilisée dans les rapports, les thèses et autres documents imprimés, ne doit pas être utilisée sur le Web. Elle est plus esthétique, mais elle prive le mobinaute de repères visuels indispensables à la lecture sur écran.
- Aérez votre texte : il s’agit encore une fois de donner des repères visuels au lecteur et de soulager ses yeux. Pour cela, utilisez des listes à puces, insérez des visuels, mettez certaines parties en gras, etc.
Faites l’impasse sur la grammaire et la ponctuation (parfois)
Un petit rappel avant de poursuivre cette section : vous ne pouvez jamais faire l’impasse sur l’orthographe. Si les petites coquilles sont relativement tolérées (mais déconseillées), les véritables fautes d’orthographe récurrentes détruiront totalement votre crédibilité. Et cela, quelle que soit votre audience.
En effet, en 2019, Le Parisien dévoilait une étude menée par le projet Voltaire auprès des jeunes utilisateurs des réseaux sociaux. Jusqu’à une certaine limite (plus d’une heure par jour sur les réseaux sociaux), les jeunes Français connectés ne font pas plus de fautes d’orthographe que les autres. Pensez-y lorsque vous publiez sur Twitter, Facebook ou Insta.
Quant à la grammaire et à la syntaxe, il y a des règles qui peuvent être allègrement brisées… et d’autres qui doivent être scrupuleusement respectées. Si une faute d’accord fait le même effet que le grincement des ongles sur un tableau noir, une phrase incomplète peut en revanche paraître légère et parfaitement justifiée. Comme celle-ci. Ou encore ceci.
L’abus de phrases incomplètes nuit toutefois à la lisibilité du texte. Vous écrivez un article, pas un télégramme. Il faut les insérer avec parcimonie dans le texte, quand une construction sujet-verbe-complément n’améliorerait pas la compréhension.
L’autre règle de syntaxe qui peut être joyeusement transgressée est celle de conjonctions de coordination. Vous avez appris qu’il ne faut jamais commencer une phrase par une conjonction de coordination. Et pourquoi ? Cette technique a l’avantage de vous permettre de scinder les phrases les plus longues, tout en permettant une continuité de votre raisonnement. Vous ne devez pas insérer un “ou” ou un “et” lorsque cela ne se justifie pas, mais si cela suit le cours logique de votre réflexion, allez-y.
Et la ponctuation ? La ponctuation est avant tout pragmatique, car elle sépare les parties d’un texte afin d’établir des liens logiques et d’en permettre la compréhension par le lecteur. Il est donc indispensable que vous gardiez cela en tête lorsque vous vous demandez si vous devez, oui ou non, mettre une virgule ou non.
La virgule est indispensable pour isoler un complément placé en début de phrase, à défaut de quoi le lecteur devra relire l’énoncé pour comprendre. En revanche, dans une phrase relativement courte, vous pourriez faire l’impasse sur les virgules avant “mais” ou “car”. De même, la ponctuation traditionnelle des listes à puces est visuellement lourde. Elles seront aussi bien comprises, voire mieux, sans l’insertion de points-virgules.
Écrivez des articles web efficaces
La capacité d’attention des lecteurs diminue progressivement, que ce soit en ligne ou hors ligne, un phénomène qui touche même les musées.
Vous devez donc rapidement capter l’attention du visiteur et la maintenir jusqu’à la fin de votre article. Pour cela, vous devez éviter les contextualisations et les transgressions pour directement aborder le cœur du sujet (ce que le lecteur est venu chercher).
Pour vous y aider, vous pouvez utiliser la structure journalistique de la pyramide inversée. Elle consiste à hiérarchiser les informations en commençant le texte par l’information la plus importante et en plaçant progressivement des éléments de plus en plus spécifiques ou accessoires.
Relisez, réécrivez, relisez
Ne perdez pas votre temps et votre inspiration en essayant de rédiger un texte parfait dès le premier jet.
Au contraire, laissez couler librement vos pensées sur la page, même si elles s’égarent, si votre syntaxe est approximative, si vous laissez des fautes d’orthographe, etc.
Vous devez ensuite procéder à plusieurs relectures et corrections de votre texte :
- Un premier passage pour vérifier la logique de votre texte, notamment celle des sous-titres, et supprimer les éléments inutiles, qu’il s’agisse de mots, de phrases ou de paragraphes entiers. Rappelez-vous, vous devez aller droit au but.
- Une seconde relecture, à haute voix, vous permet de contrôler la fluidité du texte. Si vous butez sur les mots, reformulez certains passages. Assurez-vous aussi que les transitions entre les phrases et les paragraphes sont claires.
- Une troisième relecture, indispensable, vous permettra de chasser les fautes d’orthographe et de syntaxe.
Insérez un appel à l’action en fin d’article
Tout texte devrait contenir un appel à l’action, même si son objectif prioritaire est d’amener du trafic sur votre site. Le trafic n’est en effet que la première étape vers votre véritable objectif : la conversion.
L’insertion de calls to action dans l’ensemble de vos contenus, y compris vos articles de blog, a une influence importante sur le nombre de leads et de ventes. Ainsi, l’agence de marketing digital Brafton déclare qu’après l’insertion de boutons d’appel à l’action dans les templates de billet de blog, un de ses clients a vu ses ventes s’envoler (+ 83 % en un mois).
Il s’agit bien entendu d’un résultat exceptionnel, mais il démontre que les appels à l’action ont un impact commercial réel, et cela peu importe le type de contenu.
Utilisez les neurosciences
Les neurosciences sociales peuvent vous aider à améliorer la réception de vos textes auprès d’une audience. Découvrez-en plus dans l’article consacré aux 5 enseignements des neurosciences.
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4 réponses sur « Comment Écrire un Article Web que votre audience va adorer ? »
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[…] priorisant la qualité et l’exhaustivité du contenu, les rédacteurs tendent à faire des textes de plus en plus longs. Les rédacteurs publicitaires travaillent aussi bien avec un espace limité (notamment pour les […]
[…] ailleurs, statistiquement, les articles les mieux positionnés ont tendance à être assez longs. Un article court sera probablement moins bien placé sur la SERP, sauf s’il est publié sur un […]
[…] lecture est de loin le meilleur moyen que j’ai trouvé pour améliorer mes écrits, mais chaque personne a son propre fonctionnement. J’ai aussi beaucoup appris en réalisant des […]